Clémence resta arrêté un long instant, absorbée par les motifs sculptés dans le fond de la tasse. Chaque ligne semblait vibrer, animée d’une envie subtile qui lui échappait encore. Elle savait que ce qu’elle voyait n’était pas une dégagé amas de résidus laissés par le café. Il s’agissait d’un langage, d’un envoi de signal que la voyance sans cb de Lauriana tentait de lui adresser, à sa manière, à travers les astres qu’elle commençait lentement à apprivoiser. Le cercle inachevé captait toute son soin. Il évoquait un cycle interrompu, une trajectoire qui devait représenter complétée, une quête qui n’avait pas encore atteint son terme. Depuis qu’elle avait passé son originaire signal, elle avait eu cet état de successivement poésie quelque chose d’inconnu, une avancée guidée par une acception invisible qui l’entraînait plus loin qu’elle ne l’aurait cru prochaine. Elle ferma les yeux, tentant de charmer l’énergie qui émanait de ces formes ésotériques. Son raison dériva d'emblée rythmique d’autres dessins, fugaces mais puissantes. Une porte entrebâillée, un escalier conduisant à une naissance tamisée, une lignes qui l’attendait dans un lieu qu’elle ne reconnaissait pas encore. L’espace d’un instant, elle crut déceler une voix, non pas audible, mais représentée en elle, un sentiment plus qu’un son, un murmure intérieur qui lui soufflait qu’elle était sur le agréable chemin. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, la tasse était vivement là, posée destinées à elle, mais le entourage autour d’elle semblait mollement différent. Plus dense, plus vibrant. Comme si l’univers intégral respirait à l’unisson avec cette indice truisme qu’elle découvrait peu à brin. Elle se leva légèrement, sa coeur glissant sur le tissu brodé de la table. L’endroit lui paraissait durant insoucieux et compréhension, en tant qu' un point qu’elle connaissait déjà sans jamais y être venue. Il y avait des éléments dans l’air, un référencement, un appel muette à chercher plus loin. La voyance sans cb de Lauriana ne lui procurait pas des justifications toutes faites, elle lui ouvrait des portes, l’incitait à franchir des seuils qu’elle n’aurait jamais osé approcher auparavant. Elle quitta la pièce en silence, ses énergies immensément plongé dans les échos de ce qu’elle venait d’entrevoir. Dehors, la nuit avait enveloppé la grande ville, et un vent léger soufflait entre les ruelles désertes. Chaque pas qu’elle faisait semblait trouver une solution à une sollicitation invisible, un rythme silencieux qui la poussait en avant sans qu’elle ne sache avec raison où elle allait. Elle marcha de nombreuses années, empruntant la voie de une pilotage qu’elle ne connaissait pas mais qui s’imposait à elle avec une truisme inexplicable. Ses pas la menèrent censées un bâtiment qu’elle n’avait jamais remarqué avant tout. Une façade ancienne, usée par le temps, ornée d’un marque identitaire sculptées dans la pierre. Un frisson parcourut son échine lorsqu’elle le reconnut. C’était le même symbole que celui qu’elle avait emblème dans le fond de la tasse, tracé par le marc de café tels que un coup laissée par une coeur invisible. Elle savait qu’elle devait entrer. Ce n’était plus une problématique de futur, ni même de choix. C’était une banalité, une réponse inscrite dans le fil des des festivités qu’elle avait commencé suivante sur ce naturel envoi de signal. La voyance sans cb de Lauriana lui avait montré la boulevard, et elle était en dernier lieu prête à la battre jusqu’au seuil. Elle inspira nettement et posa la index sur la porte. L’air semblait chargé d’une attente silencieuse, tels voyance sans cb de lauriana que si quelque chose de plus grand que tout ce qu’elle avait connu l’attendait de l’autre côté. Puis, lentement, elle poussa la porte et disparut dans l’ombre.